tag:blogger.com,1999:blog-7200879467371236336.post8311257883502064264..comments2023-12-29T10:26:18.818+01:00Comments on Paris myope: Le siège de Paris vu du Chemin de Fer de Petite Ceinturemusardhttp://www.blogger.com/profile/07522592254797036643noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-7200879467371236336.post-7363863430831563752013-09-20T11:01:51.399+02:002013-09-20T11:01:51.399+02:00Bonjour Mr Bretelle,
Merci de cette indication. J&...Bonjour Mr Bretelle,<br />Merci de cette indication. J'avoue que je ne connaissais pas ce livre de Théophile Gautier. Je vais le consulter et envisager de l'ajouter à ce post.<br />J'ai vu que vous avez créé un site sur les " Transports ferroviaires<br />en Région Parisienne au début du XXe siècle " qui complète bien mon petit billet. Je vais donc ajouter un lien à mon post pour s'y rendre directement. Pensez-vous que cette petite locomotive du 117 rue d'Avron représente un modèle précis de machine en service sur la Petite ceinture ? Il est possible que ce soit un modèle de fantaisie, librement inspiré des machines en circulation à cette époque. <br />Merci pour ce commentaire.<br />Bien cordialement<br />André Fantelin<br /><br /><br />André Fantelinhttps://www.blogger.com/profile/17812638615497952805noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7200879467371236336.post-73712954077654285542013-09-18T22:14:03.705+02:002013-09-18T22:14:03.705+02:00Bonjour,
Merci pour cette découverte. Connaissez-...Bonjour,<br /><br />Merci pour cette découverte. Connaissez-vous l'ouvrage "Tableaux de siège " de Théophile Gautier , Il comporte un chapitre intitulé "Le chemin de fer de Ceinture" écrit en octobre 1870, pendant le siège de Paris par les armées prussiennes et leurs alliés :<br />« Nous avions pris des billets d’impériale pour jouir d’une perspective plus vaste, et cette idée était venue à beaucoup d’autres, car les wagons ne renfermaient que de rares voyageurs. Sur les banquettes aériennes, il y avait des mobiles, des gardes nationaux, des bourgeois, des flâneurs, des enfants et même des femmes que n’avait pas effrayée l’ascension ; la curiosité rend les filles d’Ève intrépides : où ne les ferait pas grimper l’espérance de voir quelque chose ? »<br /><br />Cet ouvrage est disponible sur le site gallica.bnf.fr de la Bibliothèque Nationale de France.<br /><br />Bien cordialement,<br />Bruno Bretelle.<br /><br />Bruno Bretellehttp://www.petiteceinture.orgnoreply@blogger.com