mercredi 15 juin 2011

Le nom des noms

Enseignes. Rue du Mail et rue d'Aboukir, 2e ardt.


Où, déambulant en compagnie de Balzac et Léon Gozlan, nous sommes victimes de la magie des noms propres







                 
Un jour du mois de juin 1840, je reçus des Jardies un petit billet de Balzac, dans lequel il me priait de me trouver, le lendemain, trois heures, aux Champs-Élysées, entre les Chevaux de Marly et le café des Ambassadeurs. Il comptait d'autant plus sur mon exactitude, ajoutait-il, qu'il avait un important service à me demander. Comme il arrive toujours en pareil cas, je me mis l'esprit à là torture pour deviner le genre de service qu'il attendait de moi, afin d'aplanir d'avance les difficultés qui pourraient se présenter devant mon désir et mon zèle à l'obliger.
Mes efforts de divination n'aboutirent à rien de bien satisfaisant. J'attendis donc dans les ténèbres de l'incertitude, jusqu'au lendemain. Le temps était affreux pour la saison, quoique la belle saison soit toujours affreuse à Paris.
A trois heures, quand j'entrais dans les Champs-Élysées, un vent gris d'automne, tigré de pluie, abattait les feuilles : le sol était mou ; il faisait froid comme en février ou en mars personne dans les allées; de rares voitures. Me voilà me promenant des Chevaux de Marly au café des Ambassadeurs, dans l'attente de voir arriver Balzac.
Ma patience ne fut pas mise à une longue épreuve. Il y avait à peine deux minutes que trois heures avaient sonné aux Tuileries, que je vis venir Balzac du coté de la barrière de l'Étoile, marchant de ce pas lourd et rapide, caractéristique de son allure d'éléphant. Il m'apprit, avec un grand flux de paroles, en m'abordant, qu'il sortait de chez madame de Girardin, où il avait failli mourir de froid. En effet, il était vert comme un noyé, et il grelottait de tous ses membres.
-- Comprend-on, me dit-il, comprend-on qu'une femme supérieure à tous les titres, qu'une femme d'esprit et de sens comme madame de Girardin ait consenti à habiter le plus impossible des logements, sous un abominable ciel comme le nôtre ; habiter un temple quand on n'est pas un dieu, c'est-à-dire quand on n'a pas le privilège de se mettre à l'abri, par sa nature divine, des rhumatismes et des fluxions ; un temple avec portique, colonnes ioniennes, pavé de mosaïque, revêtements de marbre, murs en stuc poli, corniches d'albâtre et autres agréments grecs, par quarante-huit degrés cinquante minutes de latitude nord. Et, sous prétexte que nous sommes au mois de juin, aucun feu dans la cheminée. D'ailleurs, toute la forêt de Dodone, sciée en trois traits, ne suffirait pas pour chauffer un pareil monument. Mais autant vaudrait, ma parole d'honneur, recevoir ses amis sur la mer de glace, en Suisse. Aussi, quand madame de Girardin, me voyant me lever pour partir, m'a dit  " Vous nous quittez déjà, de Balzac ?"  je n'ai pu m'empêcher de lui répondre  "Oui, madame, je vais dans la rue pour me réchauffer un peu". Mais laissons cela j'ai a vous parler ; doublons le pas pour rétablir la circulation, et veuillez m'écouter. Je viens d'écrire, pour le premier numéro de la Revue parisienne, un petit roman dont je suis assez content et que je vous lirai ces jours-ci, quand j'aurai trouvé ce que je n'ai pas encore trouvé et que nous allons chercher ensemble. Mais je dois commencer par vous dire quel est le principal personnage et, à plus proprement parler, quel est l'unique personnage de ce petit poëme de mœurs douloureuses de notre époque sociale, telle que la politique de ces dix dernières années l'ont faite.
Balzac tailla ensuite à grandes lignes sculpturales la figure de ce personnage, figure un peu forte, à mon avis, pour le cadre guilloché d'une nouvelle, mais assurément destinée dans l'esprit de Balzac à se mouvoir plus tard dans le périmètre spacieux d'un roman. Il me dit ensuite, et dans ses plus intimes détails, la vie de ce personnage créé par lui. C'était la vie agitée d'un homme de génie exploité par des hommes qui n'ont que celui de l'ambition et de l'intrigue, et qui revient, chaque fois qu'il en a logé un dans un palais, languir de faim et de misère au fond de son grenier, où il finit, après plusieurs agonies, par mourir, accablé encore plus par le poids de sa déception que par la misère et la faim. -- Voici en quoi j'ai besoin que vous m'aidiez, reprit de Balzac. Pour un pareil homme, pour un homme aussi extraordinaire, il me faut un nom proportionné à sa destinée, un nom qui l'explique, qui le peigne, qui l'annonce comme le canon s'annonce de loin et dit “Je m'appelle canon” ; un nom qui soit pétri pour lui et qui ne puisse s'appliquer au masque d'aucun autre. Eh bien, ce nom ne me vient pas : je l'ai demandé à toutes les combinaisons vocales imaginables, mais, jusqu'ici, sans succès. Il y a tant de noms bêtes ! -- Non pas que je craigne de baptiser mon type d'un nom bête ; ce n'est pas à craindre ; je redoute -- et c'est peut-être plus à redouter qu'un nom bête -- un nom qui ne s'applique pas étroitement à l'homme, comme la gencive à la dent, le cheveu au bulbe, l'ongle à la chair. Comprenez-vous ?
-- Je comprends, mais je n'admets pas.
-- Comment ! vous n'admettez pas ?
-- Non.
-- Comment ! Vous n'admettez pas qu'il y a des noms qui rappellent un diadème, une épée, un casque, une fleur?...
-- Non.
-- Qui voilent et décèlent un grand poëte, un esprit satirique, un profond philosophe, un peintre célèbre ?
-- Non, non ! je serais plutôt porté à admettre le contraire. Racine, par exemple !
-- Oui, Racine j'allais le citer. Ce nom ne peint-il pas un poète tendre, passionné, harmonieux ?
-- Ce nom n'éveille en moi, je vous l'avoue, que l'idée d'un botaniste ou d'un pharmacien, et pas le moins du monde l'idée d'un poète tendre et pathétique.
-- Mais Corneille ? Corneille ?
-- Corneille fait naître en moi l'idée d'un oiseau assez insignifiant.
-- Mais Boileau ? le nom de Boileau ?
-- Provoque un calembour sans orthographe.
-- Le grand Pascal ?
-- C'est le nom de trois mille portiers du Marais. Tous ces noms, croyez-moi, ne vous paraissent éclatants, augustes, sublimes, que parce qu'ils ont été portés par des hommes d'une haute valeur intellectuelle.
-- Je ne crois pas cela, me soutint Balzac, horriblement dépité, et avec sa ténacité ordinaire. On est nommé là-haut avant de l'être ici-bas. C'est un mystère auquel il ne convient pas d'appliquer, pour le comprendre, les petites règles de nos petits raisonnements. D'ailleurs, je ne suis pas seul à croire à cette alliance merveilleuse du nom et de l'homme qui s'en décore comme d'un talisman divin ou infernal, soit pour éclairer son passage sur la terre, soit pour l'incendier. De graves esprits ont accepté cette opinion ; et, chose rare ! la foule, en cela, est d'accord avec les penseurs ce qui est tout dire et ne laisse personne en dehors de la croyance.
-- Excepté moi. Mais ne nous arrêtons pas plus longtemps à mes scrupules personnels. Vous voulez, m'avez-vous dit, que nous cherchions ensemble un nom significatif, qualificatif et explicatif de votre personnage, un nom qui réponde...
-- Qui réponde à tout ! a sa figure, à sa taille, a sa voix, à son passé, à son avenir, à son génie, à ses goûts, à ses passions, à ses malheurs et à sa gloire. En avez-vous un ?
-- Non.
-- Quant à moi, épuisé de travail depuis six mois, et qui ai déjà mis en circulation plus de noms qu'il n'y en a dans l'Almanach royal, je me déclare radicalement incapable de le trouver, surtout dans les conditions voulues.
-- Eh bien, faisons-le ensemble, ce nom.
-- Impossible ! Je l'ai tenté, ne vous l'ai-je pas dit ? D'ailleurs, ma conviction, après mille essais énervants, est qu'on ne fait pas plus un nom qu'on ne fait le granit, le spath, la houille et le marbre. C'est l'œuvre du temps, des révolutions, de je ne sais quoi. Il se fait seul. Un nom ne se crée pas plus qu'une langue. Dites-moi, je vous prie, qui a jamais créé une langue ?
-- Nous n'avons donc alors que la ressource de le découvrir ?
-- Que celle-là.
-- S'il existe.
-- Il existe, affirma solennellement Balzac.
-- En ce cas, où le découvrir ?
-- Voilà précisément pourquoi je vous ai appelé à mon aide.
Après avoir réfléchi quelques instants : Voudriez-vous employer, dis-je à Balzac, le moyen que j'emploie souvent quand je suis dans le même embarras que vous, sans professer toutefois aussi sincèrement que vous la religion du nom ?
-- Et quel moyen employez-vous ?
-- Je lis les enseignes.
-- Vous lisez les enseignes !
-- Oui, car on lit sur les enseignes les noms les plus pompeux et les plus bouffons, qui disent les choses les plus bizarres et les plus opposées, toujours, bien entendu, au point de vue de votre système ; les uns sont pleins, sous leur enveloppe, de mauvais instincts ; les autres exhalent par tous les pores le musc de l'honnêteté et de la vertu ; ceux-ci font bondir les cœurs des vaudevillistes, qui les donnent à leurs personnages comiques, ceux-là passent du fronton de bois de l'enseigne au théâtre de la Gaité et de l'Ambigu, et deviennent des noms de brigands. Ce sont ordinairement des noms de marchands de bougies et de confiseurs.
-- Mais on peut, me dit Balzac, lire deux ou trois mille enseignes avant de rencontrer le nom qu'on cherche.
-- Et même sans le rencontrer. Tenterons-nous ?
-- Tentons !
L'idée avait souri à Balzac ; je n'avais pas prévu à quoi elle m'engageait.
-- Tentons, répéta Balzac, par où commencerons-nous ?
-- Commençons où nous sommes, commençons ici, dis-je.
En ce moment, nous sortions de la cour du Louvre pour entrer dans la rue du Coq-Saint-Honoré, qui n'était pas, je n'ai pas essentiellement besoin de le dire, une rue large et monumentale comme aujourd'hui mais elle était d'une longueur double, et les enseignes l'enveloppaient des pieds à la tête, absolument comme des bandelettes enveloppant une momie égyptienne.
-- Commençons donc ici, redit Balzac.
Nous devions nous attendre à l'inutilité de nos premiers pas. Beaucoup de noms, mais des noms sans physionomie, sans celle surtout que Balzac exigeait pour son personnage. Il regardait d'un côté, moi de l'autre, le nez en l'air, les pieds on ne sait où, et, par conséquent, nous jetant dans les jambes des passants, qui nous prenaient pour des aveugles.
Au sortir de la rue du Coq, que d'autres rues ne parcourûmes-nous pas, toujours avec aussi peu de résultats. La rue Saint-Honoré jusqu'au Palais-Royal, toutes les rues collées aux flancs du jardin, la rue Vivienne, la place de la Bourse, la rue Neuve-Vivienne, le boulevard Montmartre.
Au coin de la rue Montmartre, fatigué, excédé, le cœur affadi de cette lecture peu naturelle, effrayé en outre de voir Balzac n'accepter aucun des noms d'enseignes que je lui désignais comme bons, je refusai d'aller plus loin. Je me révoltais.
-- Toujours, et en tous lieux, Christophe Colomb abandonné par son équipage ! me dit de Balzac, les yeux fixés avec douleur sur une autre série d'enseignes inexplorées. Allons je toucherai seul au rivage de l’Amérique. Partez !
-- Mais vous êtes entouré d'Amériques vous ne voulez descendre sur aucune. Vous repoussez tous les noms. Vous êtes injuste voici des noms superbes de fripiers allemands, de bottiers hongrois, de cordonniers westphaliens, et mille autres noms pleins d'expression. Vous refusez sans cesse. Vous voulez l'impossible. C'est une Amérique qui n'aura jamais son Christophe Colomb.
La lassitude est aussi injuste que la colère, je le sens, me répondit Balzac. Voyons, reposez-vous sur mon bras et donnez-moi jusqu'à Saint-Eustache. Ce sont les trois jours que Colomb obtint de son équipage.
-- Mais rien que jusqu'à Saint-Eustache !
-- Soit !
Nous reprîmes notre tournée d'inspection.
Saint-Eustache n'était pour Balzac, j'aurais dû le deviner, qu'un prétexte pour me faire toiser, dans toute leur longueur et dans toute leur hauteur, les rues du Mail, de Cléry, du Cadran, des Fossés-Montmartre, et la place des Victoires, criblée de magnifiques noms alsaciens qui font venir le Rhin à la bouche.
Au milieu de ce musée de noms, je déclarais à Balzac que, s'il ne faisait pas immédiatement un choix, je prenais congé de lui.
-- Plus que la rue du Bouloi, me dit Balzac avec instances et en me prenant les mains. Ne me refusez pas la rue du Bouloi ! Quelque chose me dit que nous découvrirons enfin.
-- Je vous accorde la rue du Bouloi !
-- Sauvé ! s'écria de Balzac. Pénétrons dans la rue du Bouloi. Et nous rentrons ensuite aux Jardies, où nous attend le dîner.
La rue du Bouloi, a l'exemple de beaucoup d'autres rues, porte, on le sait, trois noms, terrible superfétation qui rend si difficile la topographie de Paris pour les étrangers. Elle s'appelle d'abord rue du Bouloi, puis rue Coq-Héron, enfin rue de la Jussienne. C'est dans le dernier tronçon de cette rue que Balzac, je ne l'oublierai de ma vie, après avoir élevé le regard au-dessus d'une petite porte mal indiquée dans le mur, une porte oblongue, étroite, efflanquée, ouvrant sur une allée humide et sombre, changea subitement de couleur, eut un tressaillement qui passa de son bras dans le mien, poussa un cri et me dit :
–La ! Là ! Là ! Lisez ! lisez ! lisez !
L'émotion brisait sa voix.
Et je lus : MARCAS.
-- Marcas ! Eh bien, qu'en dites-vous ? Marcas ! quel nom ! Marcas !
-- Je ne vois pas dans ce nom.
-- Taisez-vous ! Marcas !
-- Mais.
-- Taisez-vous, vous dis-je. C'est le nom des noms ! N'en cherchons plus d'autre. Marcas !
-- Je ne demande pas mieux !
-- Arrêtons-nous glorieusement à celui-ci. Marcas ! Mon héros s'appellera Marcas. Dans Marcas, il y a le philosophe, l'écrivain, le grand politique, le poète méconnu. Il y a tout. Marcas !
-- Je le veux bien.
-- N'en doutez pas !
-- Mais si, dans votre opinion, le nom de Marcas annonce tout ce que vous dites là, celui qui, en ce moment, le porte en réalité, doit posséder aussi quelque supériorité. Sachons donc ce qu'il est ; car son nom n'est pas suivi de sa profession sur cette enseigne.
-- Il doit avoir une profession qui relève d'un art, et d'un art distingué, soyez-en sûr !
-- Je hochais la tête.
Sans s'arrêter à mes doutes, Balzac continua :
-- Marcas, que j'appellerai Z. Marcas pour ajouter à son nom une flamme, une aigrette, une étoile, Z. Marcas est assurément un grand artiste, un graveur, un ciseleur, un orfèvre comme Benvenuto Cellini.
-- Vous allez loin !
-- Avec un nom comme celui-là, on ne va jamais trop loin.
-- C'est ce que nous saurons à l'instant. Je cours chez le concierge m'informer de la profession de M. Z. Marcas.
-- Oui, allez.
Je ne découvrais pas de concierge dans cette maison, devant laquelle je laissais Balzac en adoration. Enfin j'en trouvais presque un, et j'appris de lui la profession de Marcas.
-- Tailleur ! criais-je de loin à Balzac.
-- Tailleur !
Balzac baissa la tête... mais pour la relever aussitôt après avec fierté :
Il méritait un meilleur sort, s'écria-t-il en la relevant. N'importe ! je l'immortaliserai. C'est mon affaire.
Balzac, le soir même, aux Jardies, où nous dînâmes avec l'appétit de gens qui ont lu trois ou quatre mille enseignes, écrivit pour la Revue parisienne, en tête de sa nouvelle intitulée Z. Marcas, la monographie de ce nom devenu historique.
Nous citons cette curieuse monographie :
"Il existait une certaine harmonie entre la personne et le nom. Ce Z, qui précédait Marcas, qui se voyait sur l'adresse de ses lettres et qu'il n'oubliait jamais dans sa signature, cette dernière lettre de l'alphabet offrait à l'esprit je ne sais quoi de fatal.
Marcas ! répétez-vous à vous-même ce nom composé de deux syllabes : n'y trouvez-vous pas une sinistre signifiance ? ne vous semble-t-il pas que l'homme qui le porte doive être martyrisé ! Quoique étrange et sauvage, ce nom a pourtant le droit d'aller à la postérité : il a cette brièveté voulue pour les noms célèbres. N'est-il pas aussi doux qu'il est bizarre ? Mais aussi ne vous parait-il pas inachevé ? Je ne voudrais pas prendre sur moi d'affirmer que les noms n'exercent aucune influence sur la destinée. Entre les faits de la vie et le nom des hommes, il est de secrètes et d'inexplicables concordances ou des désaccords visibles qui surprennent ; souvent des corrélations lointaines mais efficaces se sont révélées. Notre globe est plein ; tout s'y tient. Peut-être reviendra-t-on quelque jour aux sciences occultes.
Ne voyez-vous pas, dans la construction du Z, une allure contrariée ? ne figure-t-elle pas le zigzag aléatoire et fantasque d'une vie tourmentée ? Quel vent a soufflé sur cette lettre, qui, dans chaque langue où elle est admise, commande à peine à cinquante mots ? Marcas s'appelait Zéphirin. Saint Zéphirin est très vénèré en Bretagne. Marcas était Breton.
Examinez encore ce nom : Z. Marcas ! Toute la vie de l'homme est dans l'assemblage fantastique de ces sept lettres. Sept ! Le plus significatif des nombres cabalistiques. L'homme est mort à trente-cinq ans ; ainsi sa vie a été composée de sept lustres. Marcas ! n'avez-vous pas l'idée de quelque chose de précieux qui se brise par une chute avec ou sans bruit (1)?"
Balzac, après m'avoir lu lui-même ce commencement de sa nouvelle, me dit, plus calme que dans la rue de la Jussienne.
-- Je regretterai toujours que ce nom soit porté par un tailleur ; non pas, certes ! que je mésestime un tailleur, mais le mot tailleur me rappelle certaines dettes, certains billets protestés. Je prévois que je vais être plus d'une fois distrait en vous lisant mon travail. N'importe, Z. Marcas restera et subsistera malgré tout. !

(1) Revue parisienne, 25 juillet 1840

Balzac en pantoufles, Léon Gozlan, Paris, 1856

Z. Marcas, Honoré de Balzac, 1840


Gozlan, dentiste. 60 rue Montmartre, en regard de la rue de la Jussienne, 2e ardt.

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