Où Antoine Le Vieil, mène son enquête en 1774, afin de découvrir le ou les auteurs des riches peintures à l'émail sur verre du cloître du Charnier de Saint Étienne du Mont, en sa qualité de peintre verrier au service de cette paroisse. Puis un texte du tout début du XVIIe siècle, un peu modernisé pour être plus aisément suivi, décrit la fenêtre " La pâque juive. Le massacre des premiers-nés. La communion. Les péchés mortels. ". Il est extrait du livre dont les gravures ont servi de modèles à une partie des vitraux de ce cloître du charnier.
Ce seroit actuellement le lieu de faire
connoître, s'il étoit possible, les noms des habiles Peintres sur
verre qui nous ont laissé sur les vitres peintes du Charnier de
l’Église Paroissiale de Saint Étienne-du-Mont à Paris, les
preuves les plus distinguées de leur excellence dans leur Art, par
la délicatesse du travail le plus fini, par la beauté du coloris le
plus éclatant, par le concert de fusion le plus soutenu des Émaux
dont ces vitres sont rehaussées : vitres qui, comparées à ces
grands vitraux sortis de la main des meilleurs Peintres sur verre du
seizième siècle, sont dans leur proportion ce qu'est un tableau de
chevalet d'un bon maître par rapport à un tableau de grande
exécution, & la miniature la plus délicate relativement à un
bon tableau de chevalet.
Le silence que Sauval, qui s'est si soigneusement appliqué à nous conserver les noms des Peintres sur verre du Charnier de Saint Paul, a gardé sur ceux du Charnier de Saint Étienne, m'avoit paru réparable, si je pouvois obtenir de MM. Les Marguilliers de cette Paroisse, dont l'entretien m'a été confié depuis le décès de mes père & mère, la permission de compulser leurs Registres de délibérations, ainsi que les comptes des anciens Marguilliers de cette Fabrique, depuis le commencement du dix-septième siècle & même vers la fin du seizième : ma demande me fut accordée avec autant d'urbanité que de joie de répondre à l'empressement que je témoignois à la Compagnie de transmettre à la postérité la mémoire d'un dépôt si précieux en ce genre. J'en feuilletai les Registres depuis 1580 ; j'y reconnus qu'en 1604 la construction de ce Charnier avoit été projetée sur le terrain accordé à cet effet par les Abbé & Chanoines réguliers de l'Abbaye de Sainte Geneviève-du-Mont, & j'y appris qu'en 1622 les vitraux dudit Charnier avoient été achevés. Mais mes espérances sur la découverte des noms des habiles Maîtres qui en peignirent les vitres, furent trompées & mes recherches infructueuses
Tout ce que j'en ai pu recueillir, c'est 1°, que la Fabrique ne s'étant point chargée de la dépense de ces vitres, MM. Les Marguilliers n'ont pu ni dû les porter dans leurs comptes, & que par conséquent les noms des Peintres Vitriers qui les ont faites n'ont pu ni dû y être employés: 2°, que ces vitres peintes depuis l'année 1612, dont on reconnoît la date sur les premiers vitraux, ont été l'effet des libéralités, des plus notables Paroissiens ; qui en confièrent l'exécution à ceux des meilleurs Peintres fur verre de ce temps qu'ils payèrent de leurs deniers, & dont par conséquent les quittances, souscrites de leurs noms, restèrent entre les mains de ceux qui les avoient employés : 3°, que le vitrau dans lequel est représenté le Banquet du Père de famille, n'a coûté , y compris sa ferrure & le châssis de fil-d'archal au devant, que quatre-vingt-douze livres dix sous. Enfin que l'empressement des Paroissiens à fermer ce Charnier de vitres peintes étoit si grand, que la Fabrique crut faire une chose plus utile de prier ceux qui paraissoient dans la disposition d'y donner un vitrau, de contribuer, pour une somme de cent livres chacun, aux frais de la construction du portail & de la fonte des cloches.
Ce Charnier, qui forme autour du petit cimetière de cette Église un cloître à trois galeries, est éclairé par vingt-deux vitraux ( Il y en avoit autrefois vingt-quatre … / ...) d'environ six pieds de haut sur quatre de large, à deux pieds & demi de hauteur d'appui. Ils n'ont pas pour objet une histoire suivie, comme ceux du Charnier de Saint Paul ; mais celle que le goût & la dévotion de chaque Donateur lui ont inspiré.
Les Registres de la Fabrique nous font connoître les noms de quelques-uns des Donateurs, tels que Madame la Présidente de Viole, dame d'Andresel ; Maître François Chauvelin, Avocat ; Maître Germain, Procureur au Parlement ; MM. Boucher, Marchand Boucher, & le Juge, Marchand de Vin, qui ont été alternativement chargés de l’œuvre & Fabrique de cette Paroisse pendant les premières années du dix-septième siècle ; M. Renauld, Bourgeois de Paris, qui a fait faire le vitrau représentant le Jugement dernier, devant lequel il a désiré d'être inhumé ; & enfin une dame Soufflet-Verd, qui a donné de plus une somme de cent cinquante-cinq livres pour faire garnir de vitres peintes la rose du grand portail, avec promesse de payer le surplus, si surplus y avoit.
Entre les vingt-deux vitraux de ce Charnier, celui de la porte du cimetière est d'un temps antérieur à sa construction. Parmi les vitraux suivants on ne peut se lasser d'admirer celui qui représente la cruelle audace de Nabuchodonosor, qui, voulant faire adorer par les Israëlites, la statue d'or qu'il s'étoit fait élever, irrité de la courageuse résistance des compagnons de Daniel qu'il avoit fait conduire captifs à Babylone, les fit jeter vivants dans une fournaise ardente, d'où l’Écriture Sainte nous apprend qu'ils sortirent sains & saufs.
Le silence que Sauval, qui s'est si soigneusement appliqué à nous conserver les noms des Peintres sur verre du Charnier de Saint Paul, a gardé sur ceux du Charnier de Saint Étienne, m'avoit paru réparable, si je pouvois obtenir de MM. Les Marguilliers de cette Paroisse, dont l'entretien m'a été confié depuis le décès de mes père & mère, la permission de compulser leurs Registres de délibérations, ainsi que les comptes des anciens Marguilliers de cette Fabrique, depuis le commencement du dix-septième siècle & même vers la fin du seizième : ma demande me fut accordée avec autant d'urbanité que de joie de répondre à l'empressement que je témoignois à la Compagnie de transmettre à la postérité la mémoire d'un dépôt si précieux en ce genre. J'en feuilletai les Registres depuis 1580 ; j'y reconnus qu'en 1604 la construction de ce Charnier avoit été projetée sur le terrain accordé à cet effet par les Abbé & Chanoines réguliers de l'Abbaye de Sainte Geneviève-du-Mont, & j'y appris qu'en 1622 les vitraux dudit Charnier avoient été achevés. Mais mes espérances sur la découverte des noms des habiles Maîtres qui en peignirent les vitres, furent trompées & mes recherches infructueuses
Tout ce que j'en ai pu recueillir, c'est 1°, que la Fabrique ne s'étant point chargée de la dépense de ces vitres, MM. Les Marguilliers n'ont pu ni dû les porter dans leurs comptes, & que par conséquent les noms des Peintres Vitriers qui les ont faites n'ont pu ni dû y être employés: 2°, que ces vitres peintes depuis l'année 1612, dont on reconnoît la date sur les premiers vitraux, ont été l'effet des libéralités, des plus notables Paroissiens ; qui en confièrent l'exécution à ceux des meilleurs Peintres fur verre de ce temps qu'ils payèrent de leurs deniers, & dont par conséquent les quittances, souscrites de leurs noms, restèrent entre les mains de ceux qui les avoient employés : 3°, que le vitrau dans lequel est représenté le Banquet du Père de famille, n'a coûté , y compris sa ferrure & le châssis de fil-d'archal au devant, que quatre-vingt-douze livres dix sous. Enfin que l'empressement des Paroissiens à fermer ce Charnier de vitres peintes étoit si grand, que la Fabrique crut faire une chose plus utile de prier ceux qui paraissoient dans la disposition d'y donner un vitrau, de contribuer, pour une somme de cent livres chacun, aux frais de la construction du portail & de la fonte des cloches.
Ce Charnier, qui forme autour du petit cimetière de cette Église un cloître à trois galeries, est éclairé par vingt-deux vitraux ( Il y en avoit autrefois vingt-quatre … / ...) d'environ six pieds de haut sur quatre de large, à deux pieds & demi de hauteur d'appui. Ils n'ont pas pour objet une histoire suivie, comme ceux du Charnier de Saint Paul ; mais celle que le goût & la dévotion de chaque Donateur lui ont inspiré.
Les Registres de la Fabrique nous font connoître les noms de quelques-uns des Donateurs, tels que Madame la Présidente de Viole, dame d'Andresel ; Maître François Chauvelin, Avocat ; Maître Germain, Procureur au Parlement ; MM. Boucher, Marchand Boucher, & le Juge, Marchand de Vin, qui ont été alternativement chargés de l’œuvre & Fabrique de cette Paroisse pendant les premières années du dix-septième siècle ; M. Renauld, Bourgeois de Paris, qui a fait faire le vitrau représentant le Jugement dernier, devant lequel il a désiré d'être inhumé ; & enfin une dame Soufflet-Verd, qui a donné de plus une somme de cent cinquante-cinq livres pour faire garnir de vitres peintes la rose du grand portail, avec promesse de payer le surplus, si surplus y avoit.
Entre les vingt-deux vitraux de ce Charnier, celui de la porte du cimetière est d'un temps antérieur à sa construction. Parmi les vitraux suivants on ne peut se lasser d'admirer celui qui représente la cruelle audace de Nabuchodonosor, qui, voulant faire adorer par les Israëlites, la statue d'or qu'il s'étoit fait élever, irrité de la courageuse résistance des compagnons de Daniel qu'il avoit fait conduire captifs à Babylone, les fit jeter vivants dans une fournaise ardente, d'où l’Écriture Sainte nous apprend qu'ils sortirent sains & saufs.
Les deux vitraux suivants, dont l'un représente le défi du Prophète Élie aux faux Prophètes de Baal, l'autre les premiers Ministres de l’Église, les Empereurs, les Rois, tous les Peuples de la terre adorant Jésus-Christ élevé en Croix, figuré dans la partie supérieure par le serpent d'airain, sont, comme le précédent, d'une beauté admirable. Ils paroissent tous trois dignes de Desangives ou de Nicolas Pinaigrier, qui travailloient dans le même temps à ceux du Charnier de Saint Paul.
On pourroit encore attribuer aux Peintres qui ont travaillé avec moins de succès aux vitraux de ce Charnier, ceux de celui de Saint Étienne dans lesquels on remarque, comme à Saint Paul, des émaux bouillonnants qui se sont écaillés par la suite ; par exemple , le vitrau qui représente l'histoire de Saint Denys, & celui où font représentés la multiplication des pains & des poissons, & la fraction du pain en présence des Pélerins d'Emmaüs. Ce dernier ne se voit pas sous le Charnier, mais dans la Chapelle de la Sainte Vierge où il a été transporté.
Rien ne vient si bien à l'appui de la
conjecture qui me fait admettre Nicolas Pinaigrier au rang des
Peintres sur verre qui ont travaillé aux vitres du Charnier de Saint
Étienne, que les sujets représentés dans un autre vitrau qui a
aussi été transporté dans la même Chapelle. J'ai observé
ci-devant en donnant la description de l'allégorie du pressoir,
peinte par Pinaigrier en 1520 pour l’Église de Saint Hilaire de
Chartres, que ce sujet avoit été copié par la suite pour plusieurs
Églises de Paris.
Or le vitrau de Saint Étienne où il est
représenté doit avoir été peint par les descendants de ce célèbre
Artiste, qui, propriétaires des cartons originaux de cette
allégorie, en auront fait l'objet de leur complaisance & de leur
application, toutes les fois qu'ils auront eu occasion de répéter
sur le Verre ce morceau chéri de leur Auteur. Et comme Sauval nous
apprend que les Marchands de Vin avoient adopté par choix ce sujet
pour en orner leurs Chapelles de Confrérie ou de dévotion, j'en
augure que le vitrau de Saint Étienne où l'on a peint cette
allégorie aura été donné pour l'ornement du Charnier de cette
Église par Jean le Juge, Marchand de Vin, un des plus grands
amateurs de peinture sur verre de son temps. Je crois être fondé à le croire,
par une délibération de la Fabrique de cette paroisse en 1610. On y
lit que ce Marguillier avoit persisté avec fermeté dans la
résolution qu'il avoit prise de faire de faire peindre à ses frais
la grande vitre qui est dans la nef au-dessus de la Chapelle Sainte
Anne, malgré l'avis de sa compagnie qui avoit arrêté en son
absence, qu'il seroit prié de convertir en valeur, pour être
employés à la construction du Charnier, les deniers destinés à
cette varrière historiée, qui ôteroit beaucoup de jour à cette
partie de l’Église, déjà obscurcie par le voisinage de la tour
du clocher. .../...
Antoine Le Vieil, L'Art de la peinture sur verre et de la vitrerie, 1774.
Antoine Le Vieil, L'Art de la peinture sur verre et de la vitrerie, 1774.
IV. La manne. -
L'eucharistie.
D'après la gravure du livre VI de la Conférence. Le panneau supérieur nous montre Moïse et Aaron « qui parlementent l'un à l'autre dans le camp des Hébreux. ». Des oiseaux « tombent à milliers tout autour de leurs têtes ». Du haut du ciel descend la manne sous la forme de « menus grains blancs comme fleur de farine et rondelets tout ainsi que de la coriandre ».
D'après la gravure du livre VI de la Conférence. Le panneau supérieur nous montre Moïse et Aaron « qui parlementent l'un à l'autre dans le camp des Hébreux. ». Des oiseaux « tombent à milliers tout autour de leurs têtes ». Du haut du ciel descend la manne sous la forme de « menus grains blancs comme fleur de farine et rondelets tout ainsi que de la coriandre ».
Le panneau inférieur représente des fidèles en adoration devant le saint sacrement, « la vraye et admirable manne du précieux corps de N.- S. Jésus-Christ ». Cette verrière a été donnée par le président Loisel
V. La pâque juive. Le
massacre des premiers-nés. La communion. Les péchés
mortels.
Vitrail exécuté d'après la gravure du livre VIII de la Conférence. Le panneau supérieur représente., à gauche, les Hébreux mangeant l'agneau pascal ; à droite, deux anges, enveloppés de lumière, volant dans une nuit profonde et faisant un « horrible carnage ››.
Vitrail exécuté d'après la gravure du livre VIII de la Conférence. Le panneau supérieur représente., à gauche, les Hébreux mangeant l'agneau pascal ; à droite, deux anges, enveloppés de lumière, volant dans une nuit profonde et faisant un « horrible carnage ››.
Au panneau inférieur se
voient les pâques chrétiennes et, en pendant au massacre des
premiers-nés, la représentation des péchés mortels : « Ce
sont les diables qui tuent tous les premiers nais des bonnes
propositions, intentions et volontez qui naissent ès âmes
chrétiennes, desquelles ils font puis après des parricides, des
infidèles, des apostats, des idolâtres et des avaricieux. ›› Ce
vitrail a été donné par M. Leclerc, fermier pour le roi.
Description du Huictiesme Tableau. ( Il s'agit de la gravure ci-dessus qui a servi de modèle au vitrail, l'orthographe de ce texte a été modernisée )
Cette obscure nuit brunissant le haut de notre Tableau, ne nous peut apporter de premier abord qu'une tristesse en l'âme. Quel cruel spectacle sauroit-on voir, que tant de corps morts casuellement entassés l'un sur l'autre, pendant une heure si importune, & dormant d'un dur repos au lieu d'un agréable sommeil. Mais encore quelle douleur, puisque ce mal ne s'attache qu'aux premiers nés de tout un pays, pour lesquels et sur lesquels, se fait cet horrible carnage, sans en savoir les causes, & ce qui est plus lamentable, sans y pouvoir remédier. Les chasteaux bien munis, les cabinets plus secrets, l'autorité, les grades, la noblesse, ni la dignité, n'y sont non plus espargnées qu'une vile populace, un petit toit de chaume, ou un mercenaire & roturier.
Autant leur vaut courir ça & là, parmi les rues, aller chercher les embrassements de leurs pères & mères, pour mourir devant eux ou avec eux, que de se musser ( se cacher Ndr ) dans les plus creuses cavernes qui fussent en toute l'Egypte : ils n'en sont de rien mieux traités, il n'y a que la contrelutte d'Ange à Ange, qui les puisse garantir, & un petit signal marqué de sang en forme d'un T. au seuil de leur portes. ( Il s'agit du sang d'un agneau que Dieu a ordonné de manger cette nuit là à son peuple, le peuple d'Israël ; c'est un signe de reconnaissance qui permet à ceux qui l'ont apposé sur le montant de leur porte d'être épargnés, selon la Bible, Ndr ) Tout le reste s'enfuit en vain, & c'est pour néant qu'ils élèvent leur voix plaintive contre le Ciel ; Dieu est par trop indigné à l'encontre d'eux, pour l’opiniâtreté endurcie de leur Roy ( Pharaon, Ndr ).
Ces autres-ci que vous voyez renfermés
dans l'enclos de cette maison, équipés pour déloger bientôt, sont
les enfants d'Israël, qui mangent l'Agneau Pascal, ayant les reins
ceinturés, les souliers aux pieds, & le bâton en main. ( Ils
s'apprêtent à quitter l’Égypte Ndr ) Ils se sont assemblés par
familles, & de voisins à voisins, en nombre suffisant pour
dévorer entièrement cet Agneau, sans en laisser aucune chose :
car ce seroit dommage, faute d'avoir par charité appelé son pauvre
voisin, qui n'auroit moyen de faire ce doux repas, de jeter les
restes trop gras dans le feu, puisque les animaux domestiques n'y
avoient point de part, pas même aux os, qui ne devoient être
aucunement rompus mais réduits en cendre. Abaissons un peu notre œil
par humilité, pour contempler ce sacré mystère que le peintre a
mis en front d’œuvre. N'a-t-il pas artistement représenté les
bâtons que ce peuple Hébreu tenoit en main par la crosse que ce
vénérable Evesque sait porter avec foi, pendant qu'il donne à son
peuple le vrai Agneau Jésus Christ, qu'ils mangent tout entier sans
fracture aucune, ayant brûlé leurs mauvaises affections, dans les
braises d'une ardente & amère confession, estant assistés &
poussés à ce faire par la grâce du Saint-Esprit.
Ce que nous
voyons au dehors de cette église, est aussi tragiquement cruel ou
plus, que le meurtre que fait cet Ange persécuteur. Car ce sont les
diables qui tuent tous les premiers nés des bonnes propositions,
intentions & volontés, qui naissent dans les âmes Chrétiennes,
desquelles ils font ensuite des parricides, des infidèles, des
apostats, des idolâtres & des avaricieux, qui quittent tout
amour de Dieu, pour celui des richesses. Voyez si le peintre vous a
plu en son Tableau, & si votre âme recevra plus de contentement
par la lecture de ce qui suit.
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