Plaque d'assurance en tôle estampée. "L'Urbaine". Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine |
LES DEUX PREMIÈRES COMPAGNIES D'ASSURANCE CONTRE L'INCENDIE.
En 1750 se forme une association mutuelle contre
l'incendie dont Pothier et Valin font mention, mais c'est
véritablement en 1754 que la première Compagnie fait son
apparition, un siècle après la promulgation de l'édit créant le
règlement d'une Compagnie générale.
Il existait à Paris, en 1754, deux Compagnies d'assurances maritimes, l'une d'elle obtint de Louis XV le privilège d'étendre son assurance aux immeubles. Cette Compagnie se nommait : la Chambre ou Société d'Assurances Générales. Les statuts furent enregistrés au Châtelet. En 1786, sous Louis XVI, deux arrêts du Conseil autorisaient et privilégiaient deux nouvelles Compagnies, moyennant un versement, par leurs fondateurs, d'une somme de quelques millions à l'Hôtel de Ville pour la garantie des assurés. L'une de ces deux Sociétés, celle des frères Perier, directeurs des eaux de Paris, offrait le quart des bénéfices de leur Société pour créer et entretenir un corps de pompiers à Paris.
L'autre Compagnie se nommait Compagnie Royale d'Assurances Générales contre l'incendie. Son fondateur, M. Labarthe, installa son siège social 115, rue Richelieu, en face la Bibliothèque du roi ; ses contrats étaient faits de un an à dix ans.
A chaque maison assurée par la Compagnie était apposée une petite plaque en métal portant en relief les lettre suivantes : M.A.C.L. , ce qui veut dire : maison assurée contre l'incendie.
Depuis ce temps, il est de mode pour l'assureur de clouer, au-dessus de la porte d'entrée principale de chaque immeuble, des emblèmes qui souvent présentent une extrême originalité (2).
(2) Tout le monde, dit M. Manceau, auteur d'une étude historique sur les plaques, connaît la signification de ces rectangles en tôle vernie qui décorent, à la hauteur du premier étage, la presque totalité des maisons.
Il n'est guère de construction, même parmi les plus humbles et les plus rustiques, qui ne porte au moins une de ces plaques. Certains immeubles, comme ceux de la grande raffinerie Sommier, rue de Flandre, ou de l'importante maison d'équipements militaires, rue Rochechouart, en sont littéralement constellés, comme la poitrine d'un diplomate : on y compte peut-être vingt de ces décorations aux emblèmes les plus divers.
Il en est de bleues, de rouges, de noires ; les unes sont bien simples, tout unies rehaussées d'un modeste filet d'or, avec des majuscules sur le champ ; d'autres sont de nuances variées, véritables tableautins polychromes, avec des vignettes, des astres rayonnants, des oiseaux superbes, des scènes touchantes, ou de majestueuses divinités dans de nobles attitudes, entourées des attributs de la paix et du travail, du commerce et de l'industrie, de la concorde et de l'abondance.
La plaque de tôle est donc le signe caractéristique de l'assuré. Elle est également celle de l'agent d'assurance qui en possède une de forme spéciale.
La fabrication de ces spécialités offre, au point de vue industriel, un certain intérêt. La maison la plus ancienne et qui est restée la plus importante pour cet article fut fondée, en 1825, par M. Hébrard de Villiers ; à cette époque, les plaques murales des Compagnies d'assurances étaient grossièrement faites à la main, à l'aide de poncifs spéciaux ; c'est en 1832 que cette maison commença à estamper et a donner aux plaques murales les reliefs qui font si bien ressortir les inscriptions qu'y mettent les Compagnies d'assurances.
C'est vers la même époque que l'on commença à faire durcir au four le vernis de ces plaques, afin qu'elles puissent offrir une plus grande force de résistance aux intempéries du temps.
En 1846,
M. Nollet succédait à M. Hébrard de Villiers, il donnait à son
industrie de nombreuses modifications, tant à la forme qu'à la
solidité des plaques murales. Depuis 1887, M. Manceau — auteur de
cet historique — prit la succession de M. Nollet et continua les
traditions de ses prédécesseurs, en y apportant chaque jour de
grands perfectionnements.
Au début, les plaques servaient seulement à indiquer les maisons assurées et à les désigner à des Compagnies spéciales qui devaient, en cas de sinistre, en essayer le sauvetage ; elles signifiaient aussi qu'une récompense était promise aux sauveteurs.
Actuellement, le service des pompiers fonctionne pour tous indistinctement, assurés ou non ; mais la plaque n'en indique pas moins que la Compagnie qui l'a placée saura largement reconnaître les efforts des gens qui auront prêté leur secours ; ce signe contribue, dans beaucoup de circonstances, à stimuler le courage et le dévouement des hommes énergiques accourus pour lutter contre le fléau du feu.
Mais les plaques rendent encore un autre genre du service : elles sont une protection contre les incendiaires, et voici dans quels cas. On va comprendre comment, à ce titre, elles ont leur raison d'être, surtout dans les campagnes.
Les bureaux du contentieux, dans les Compagnies d'assurances, savent, ils l'ont établi par des statistiques déjà anciennes, — que, parmi les incendies, il y en a de 20 à 35 % qui sont dus à la malveillance. C'est énorme.
Eh bien, parmi ceux-là, un grand nombre, — on en est certain, — doivent être attribués aux propriétaires eux-mêmes. Beaucoup d'autres ont pour origine la malveillance, l'animosité des voisins.
En province, dans les villages, les rivalités sont acharnées, les haines sont vives et militantes. Les toitures de chaume, les granges avec leurs amas de pailles et de foins, les bûchers remplis de fagots et de provisions de bois, tout offre une tentation trop naturelle aux malfaiteurs, et le feu cause là de grands ravages, des désastres les trois quarts du temps impossibles à limiter.
Mais, en somme, le véritable but de l'incendiaire, c'est de nuire, de nuire à quelqu'un, à son ennemi, et si celui-ci est assuré, s'il doit trouver la réparation certaine du mal qu'on aura voulu lui faire, le but est manqué. Aussi le paysan haineux renoncera-t-il souvent à incendier une maison assurée, et cherchera-t-il plutôt un autre genre de vengeance.
C'est pourquoi l'assuré des campagnes réclame la plaque d'assurance, car il en reconnaît les effets protecteurs et n'hésite pas à en bénéficier. (Cet historique des plaques a été publié par L'Avenir Economique)
Il existait à Paris, en 1754, deux Compagnies d'assurances maritimes, l'une d'elle obtint de Louis XV le privilège d'étendre son assurance aux immeubles. Cette Compagnie se nommait : la Chambre ou Société d'Assurances Générales. Les statuts furent enregistrés au Châtelet. En 1786, sous Louis XVI, deux arrêts du Conseil autorisaient et privilégiaient deux nouvelles Compagnies, moyennant un versement, par leurs fondateurs, d'une somme de quelques millions à l'Hôtel de Ville pour la garantie des assurés. L'une de ces deux Sociétés, celle des frères Perier, directeurs des eaux de Paris, offrait le quart des bénéfices de leur Société pour créer et entretenir un corps de pompiers à Paris.
L'autre Compagnie se nommait Compagnie Royale d'Assurances Générales contre l'incendie. Son fondateur, M. Labarthe, installa son siège social 115, rue Richelieu, en face la Bibliothèque du roi ; ses contrats étaient faits de un an à dix ans.
A chaque maison assurée par la Compagnie était apposée une petite plaque en métal portant en relief les lettre suivantes : M.A.C.L. , ce qui veut dire : maison assurée contre l'incendie.
Depuis ce temps, il est de mode pour l'assureur de clouer, au-dessus de la porte d'entrée principale de chaque immeuble, des emblèmes qui souvent présentent une extrême originalité (2).
Plaque d'assurance en tôle estampée. "La Providence". IIe ardt. |
Plaque d'assurence en tôle estampée. "La Paix". IIe ardt. |
(2) Tout le monde, dit M. Manceau, auteur d'une étude historique sur les plaques, connaît la signification de ces rectangles en tôle vernie qui décorent, à la hauteur du premier étage, la presque totalité des maisons.
Il n'est guère de construction, même parmi les plus humbles et les plus rustiques, qui ne porte au moins une de ces plaques. Certains immeubles, comme ceux de la grande raffinerie Sommier, rue de Flandre, ou de l'importante maison d'équipements militaires, rue Rochechouart, en sont littéralement constellés, comme la poitrine d'un diplomate : on y compte peut-être vingt de ces décorations aux emblèmes les plus divers.
Il en est de bleues, de rouges, de noires ; les unes sont bien simples, tout unies rehaussées d'un modeste filet d'or, avec des majuscules sur le champ ; d'autres sont de nuances variées, véritables tableautins polychromes, avec des vignettes, des astres rayonnants, des oiseaux superbes, des scènes touchantes, ou de majestueuses divinités dans de nobles attitudes, entourées des attributs de la paix et du travail, du commerce et de l'industrie, de la concorde et de l'abondance.
Plaque d'assurance en tôle estampée. "L'Union". Gif-sur-Yvette, Essonne. |
La plaque de tôle est donc le signe caractéristique de l'assuré. Elle est également celle de l'agent d'assurance qui en possède une de forme spéciale.
La fabrication de ces spécialités offre, au point de vue industriel, un certain intérêt. La maison la plus ancienne et qui est restée la plus importante pour cet article fut fondée, en 1825, par M. Hébrard de Villiers ; à cette époque, les plaques murales des Compagnies d'assurances étaient grossièrement faites à la main, à l'aide de poncifs spéciaux ; c'est en 1832 que cette maison commença à estamper et a donner aux plaques murales les reliefs qui font si bien ressortir les inscriptions qu'y mettent les Compagnies d'assurances.
C'est vers la même époque que l'on commença à faire durcir au four le vernis de ces plaques, afin qu'elles puissent offrir une plus grande force de résistance aux intempéries du temps.
Plaque d'assurance en tôle émaillée. "La Grande Compagnie d'assurances". XVIIIe ardt. |
Au début, les plaques servaient seulement à indiquer les maisons assurées et à les désigner à des Compagnies spéciales qui devaient, en cas de sinistre, en essayer le sauvetage ; elles signifiaient aussi qu'une récompense était promise aux sauveteurs.
Actuellement, le service des pompiers fonctionne pour tous indistinctement, assurés ou non ; mais la plaque n'en indique pas moins que la Compagnie qui l'a placée saura largement reconnaître les efforts des gens qui auront prêté leur secours ; ce signe contribue, dans beaucoup de circonstances, à stimuler le courage et le dévouement des hommes énergiques accourus pour lutter contre le fléau du feu.
Plaque d'assurance en tôle estampée. "Le Nord". IVe ardt. |
Mais les plaques rendent encore un autre genre du service : elles sont une protection contre les incendiaires, et voici dans quels cas. On va comprendre comment, à ce titre, elles ont leur raison d'être, surtout dans les campagnes.
Les bureaux du contentieux, dans les Compagnies d'assurances, savent, ils l'ont établi par des statistiques déjà anciennes, — que, parmi les incendies, il y en a de 20 à 35 % qui sont dus à la malveillance. C'est énorme.
Eh bien, parmi ceux-là, un grand nombre, — on en est certain, — doivent être attribués aux propriétaires eux-mêmes. Beaucoup d'autres ont pour origine la malveillance, l'animosité des voisins.
En province, dans les villages, les rivalités sont acharnées, les haines sont vives et militantes. Les toitures de chaume, les granges avec leurs amas de pailles et de foins, les bûchers remplis de fagots et de provisions de bois, tout offre une tentation trop naturelle aux malfaiteurs, et le feu cause là de grands ravages, des désastres les trois quarts du temps impossibles à limiter.
Mais, en somme, le véritable but de l'incendiaire, c'est de nuire, de nuire à quelqu'un, à son ennemi, et si celui-ci est assuré, s'il doit trouver la réparation certaine du mal qu'on aura voulu lui faire, le but est manqué. Aussi le paysan haineux renoncera-t-il souvent à incendier une maison assurée, et cherchera-t-il plutôt un autre genre de vengeance.
C'est pourquoi l'assuré des campagnes réclame la plaque d'assurance, car il en reconnaît les effets protecteurs et n'hésite pas à en bénéficier. (Cet historique des plaques a été publié par L'Avenir Economique)
Plaque d'assurance en tôle estampée. "La Confiance". XVIIe ardt. |
205. Les assureurs contre l'incendie, ont, à l'exemple des Anglais, adopté l'usage de plaques indicatives de l'assurance, qui sont apposées sur la maison assurée, ou sur celle qui renferme des objets assurés (1). Ces plaques appellent le zèle des pompiers, auxquels les compagnies accordent des récompenses ; elles peuvent aussi, en annonçant que le dommage causé par l'incendie sera réparé, prévenir les vengeances particulières. Le prix de la plaque est à la charge de l'assuré ; elle n'est délivrée et placée qu'après la signature de la police.
(1) La plaque de
la société Mutuelle de Paris porte ces initiales, M. A. C. L. ( maison assurée contre l'incendie ); celle de la compagnie
d'Assurances Générales, A. G. (assurances générales) ; celle du
Phénix, la représentation d'un phénix; et celle de la compagnie
Royale , les initiales C. R. (compagnie royale).
Traité des assurances terrestres et de l'assurance sur la vie des hommes / par MM. Grün et Joliat. Paris, chez les auteurs, 1828, p. 258
Paris, le 20 avril 1826
(…)
Il
y eut un autre incident à propos de la fameuse procession du jubilé,
mais je ne sais guère comment vous le raconter. Il s'agit de deux
personnages illustres. Comme ils émargent au budget et occupent des
places fort importantes, j'aurais peut-être le droit de divulguer
leurs noms. Mais si je le faisais et s'il arrivait à ma lettre
d'être ouverte à la poste, elle aurait, comme c'est la règle en
pareil cas, bien des chances d'être jetée au feu. Donc, pour éviter
tous les risques, je ne lèverai point les masques. Il faut d'abord
que vous sachiez ce que tout Français, fût-il même du rang le plus
élevé, ne sait pas encore, c'est à dire qu'Enseignement Mutuel
commence par E. Beaucoup de maisons, à Paris, sont assurées contre
l'incendie par des compagnies d'assurances privées, et on appose sur
les portes de ces maisons des plaques portant les lettres A. M., ce
qui signifie Assurance Mutuelle.
Pendant que la procession parcourait la rue Saint-Jacques, on pouvait voir un personnage auguste examinant ces plaques avec un air d'inquiétude marquée. Il s'adressa enfin à M. Sosthène de La Rochefoucauld, et le dialogue suivant s'engagea : « On dirait que c'est ici un quartier fort malhonnête. Ces lettres A. M. apposées avec défi sur les portes ne peuvent guère signifier qu'Enseignement Mutuel ? » – « Je le suppose, répondit M. Sosthène. » – « Comptez celles de gauche et moi, je compterai celles de droite, et nous verrons combien il y en a. » Ils eurent bientôt compté 122 plaques de l'Instruction mutuelle. Dès que la procession fut terminée, le dit personnage auguste prévint l'évêque d'Hermopolis. « Eh bien, dit-il, je trouve la rue Saint-Jacques pleine d'établissements pour l'Enseignement Mutuel. Pourquoi n'ont-ils pas été supprimés petit à petit et par des moyens doux ? Le peuple n'est-il pas assez jacobin et impie déjà, sans qu'on lui apprenne encore à lire Voltaire et Rousseau ? ». Je ne raconterai pas la suite de cette conversation curieuse, d'autant plus gênante pour l'évêque d'Hermopolis qu'il lui fallut expliquer que le mot enseignement commençait par un E et assurance par un A.
(…)
Stendhal, Courrier anglais, mai 1826 (paru dans le New Monthly Magazine de Londres)
Plaque d'assurance en tôle estampée. "A.M". Clamart, Hauts-de-Seine. |
Pendant que la procession parcourait la rue Saint-Jacques, on pouvait voir un personnage auguste examinant ces plaques avec un air d'inquiétude marquée. Il s'adressa enfin à M. Sosthène de La Rochefoucauld, et le dialogue suivant s'engagea : « On dirait que c'est ici un quartier fort malhonnête. Ces lettres A. M. apposées avec défi sur les portes ne peuvent guère signifier qu'Enseignement Mutuel ? » – « Je le suppose, répondit M. Sosthène. » – « Comptez celles de gauche et moi, je compterai celles de droite, et nous verrons combien il y en a. » Ils eurent bientôt compté 122 plaques de l'Instruction mutuelle. Dès que la procession fut terminée, le dit personnage auguste prévint l'évêque d'Hermopolis. « Eh bien, dit-il, je trouve la rue Saint-Jacques pleine d'établissements pour l'Enseignement Mutuel. Pourquoi n'ont-ils pas été supprimés petit à petit et par des moyens doux ? Le peuple n'est-il pas assez jacobin et impie déjà, sans qu'on lui apprenne encore à lire Voltaire et Rousseau ? ». Je ne raconterai pas la suite de cette conversation curieuse, d'autant plus gênante pour l'évêque d'Hermopolis qu'il lui fallut expliquer que le mot enseignement commençait par un E et assurance par un A.
(…)
Stendhal, Courrier anglais, mai 1826 (paru dans le New Monthly Magazine de Londres)
Plaque d'assurance en tôle estampée. "Cie du Soleil". Cachan, Hauts-de-Seine. |
Plaque d'assurance en tôle estampée, et badigeonnée. "Cie du Soleil". Sceaux, Hauts-de-Seine. |
Note : en raison de la rareté des plaques d'assurance encore en place et de l'abondance des malfaisants, nous avons préféré ne pas indiquer de localisation précise sur ce billet. Une incitation à marcher nez en l'air pour découvrir d'autres modèles.
Bonjour,
RépondreSupprimerj'ai une photo de plaque de la Providence en état potable, d'une maison d'ASSON (64), êtes vous preneur de la photo ???
abadie point paul at orange point fr
Bonjour Mr Abadie,
RépondreSupprimerMerci pour l'offre de votre photo, toutefois notre blog est centré sur Paris et sa région, jusque en Seine et Marne par exemple. Mais les Pyrénées Atlantiques sont très en dehors de notre terrain de jeu.
Je vous suggère de proposer votre photo au site animé par Francis Cahuzac : Commission Française pour la Protection du Patrimoine Historique et Rural http://cfpphr.free.fr/ . Il a déjà répertorié un certain nombre de plaques d'assurances.
Cordialement.
André Fantelin
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
SupprimerBonjour
SupprimerJ'ai une plaque non pas" la providence" mais " Providence "
Avec de curieuses arabesques dans le triangle
Plaque d'AFN ?
MERCI
Bonjour Mr Ch. Guillaume,
SupprimerQue voulez-vous dire par "J'ai une plaque " ? Vous avez localisé une plaque à une adresse, en place sur un bâtiment ? Vous en avez une photo ? Ou vous possédez une plaque chez vous, sur votre maison par exemple, ou seule, non fixée sur un mur, sur une étagère par exemple ?
Quant à l'abréviation AFN, voulez-vous dire Afrique Française du Nord ?
Il existe des jetons de la Cie La Providence qui comportent dans le triangle, non des arabesques, mais des lettres hébraïques (le tétragramme?). L’œil de la Providence est aussi l’œil de Dieu.
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerJe souhaiterais utiliser la photo "A.M. Clamart" pour illustrer un article à paraître en ligne sur le "confort" des logements, dans le cadre d'un ouvrage, publié tous les quatre ans par l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de la Région Ile-de-France, sur les conditions de logements en Ile-de-France. L'IAU est un organisme d'utilité publique, au service de la Région.
Si vous nous accordez ce droit d'utilisation, pourriez-vous nous indiquer le nom de l'auteur de la photo, afin que nous puissions le citer. En vous remerciant d'avance pour votre réponse,
Marie-Anne Portier
Vous pouvez utiliser cette photo. Pour l'auteur, créditez le blog : parismyope.blogspot.fr. Merci
SupprimerJ'ai dans mon village du Gard la plaque L URBAINE apposer a une facade d une maison
RépondreSupprimerC'est une plaque rouge des années 30 peut-être, plus récente que celles présentée ici ?
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