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Fondation Larmeroux, Robert Coutin et L. Piron Sculpteurs, 1939, 2 ter rue Aristide Briand, Vanves
Initialement une crèche et une maison de retraite cohabitaient dans le même bâtiment, d'où le thème des sculptures,
Où un auteur envisage de soulager les familles nombreuses pauvres en leur ôtant des bouches à nourrir, pour les verser de huit à dix-huit ans au service militaire. Puis la place et le rôle de la femme au XIXe siècle est discuté à travers deux textes : soit traditionnelle Madone familiale, soit être libre et égale de l'homme. Pour finir un petit hommage est rendu à un sculpteur rencontré lors de billets précédents.
Une des principales causes
de la misère des classes ouvrières, c'est le trop grand nombre
d'enfants : la fondation des crèches et des salles d'asile sont des
bienfaits de la société nouvelle ; mais est-ce assez, et ne
pourrait-on pas aller beaucoup plus loin avec un grand avantage pour
la société ?
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Fondation Larmeroux, Robert Coutin et L. Piron Sculpteurs, 1939, 2 ter rue Aristide Briand, Vanves
Initialement une crèche et une maison de retraite cohabitaient dans le même bâtiment, d'où le thème des sculptures,
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Le recrutement appelle tous les ans sous les drapeaux
10 ou 100 mille hommes : ils quittent à vingt ans leur famille,
leurs travaux, et consomment dans l'oisiveté des garnisons les six
ou sept plus belles années de leur vie d'une manière assurément
bien peu productive pour le pays, et bien inutile, si ce n'est même
souvent funeste pour eux mêmes. Si l'on évalue à 1500 fr. par
chaque soldat le prix du service militaire auquel il est astreint,
c'est une dépense annuelle pour le pays, indépendamment de
l'entretien de l'armée, qui est une autre chose, de 150 millions de
francs. Est-ce qu'au moyen de cette dépense il ne serait pas
possible d'entretenir des gymnases militaires dans lesquels on
élèverait, depuis l'âge de huit ans jusqu'à dix-huit ou vingt,
selon leur force, 200 000 jeunes gens qui seraient consacrés au
service militaire, et y resteraient soumis au moins jusqu'à trente
ans ? Ces enfants, choisis parmi ceux des familles pauvres et
nombreuses, recevraient dans les gymnases l'éducation appropriée à
la profession à laquelle ils seraient destinés ; ils feraient sans
doute ainsi d'excellents soldats, et ce mode de recrutement serait
aussi peu coûteux pour le pays que propre à soulager les familles
pauvres du poids trop lourd de l'éducation de leurs enfants. Il
n'aurait rien d'ailleurs qui ne fût moral et utile au maintien de la
société.
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Fontaine en pierre et bronze, Émile Derré sculpteur, 1906, Square Louise Michel, XVIIIe ardt. |
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C'est aux militaires qu'il appartient de juger si ce mode
de recrutement de l'armée fournirait au pays de bons soldats ; mais
certainement il n'y a rien de plus barbare aux yeux du publiciste que
d'enlever un homme à l'âge de vingt ans à ses travaux, à sa
profession, à ses études, pour l'envoyer vivre six ou sept ans dans
l'oisiveté des garnisons ; il n'y a rien de plus immoral aux yeux du
philosophe que de l'arracher à sa famille, à ses affections, à ses
devoirs, pour lui ouvrir la société des cabarets et des corps de
garde ; il n'y a rien de plus stupide, aux yeux du citoyen, que de
confier la sûreté du pays, en cas de guerre européenne, à
d'autres baïonnettes qu'à celles de la garde nationale ; l'armée
soldée n'en sera jamais maintenant que l'avant-garde. Il est
impossible que l'on ne reconnaisse pas dans un temps très prochain
tout ce qu'il y a de profondément inintelligent dans le mode actuel
du recrutement de l'armée. Il est très coûteux pour le pays, et il
ne produit qu'une armée sans esprit militaire, qui n'endosse
l'uniforme qu'avec l'envie de le quitter, et ne marche en avant qu'en
regardant en arrière, pour voir sonner au clocher de son village
l'heure à laquelle arrivera son congé. La dépense que coûteraient
les gymnases militaires serait beaucoup moindre qu'on ne le pourrait
croire au premier aperçu, parce qu'il serait possible de les établir
sur des points où ils rendraient des services, en concourant à des
travaux publics, ne fût-ce qu'au drainage des terres ou aux
irrigations ; et d'ailleurs, pour ne pas figurer au budget, la
dépense du recrutement n'est pas aujourd'hui moins réelle ; il
serait déraisonnable de soutenir qu'un homme de vingt ans ne
trouverait pas à louer son travail annuel moyennant un prix
supérieur à sa dépense personnelle d'au moins 300 francs par an ;
et cela est prouvé d'ailleurs par le prix du remplacement militaire,
quelque peu de valeur qu'ait cependant le travail de ceux qui
s'offrent pour remplaçants. L'impôt du recrutement est donc une
taxe très-réelle, qui pèse sur la population pour au moins 150
millions par an ; et elle a cela de mauvais, par-dessus toute autre
taxe, qu'elle est répartie entre tous les citoyens par un procédé
de loterie, procédé injuste et immoral. Il serait donc bien facile
d'asseoir sur de meilleures bases un impôt d'un produit équivalent,
que l'on consacrerait à l'entretien des gymnases militaires. Le
nombre des filles est, en France, si ce n'est dans un seul
département, bien moindre, comme on le sait, que celui des garçons
; d'ailleurs, l'éducation des filles est moins dispendieuse ; elles
rendent des services à la famille beaucoup plus tôt ; elles sont
bien plus rarement une occasion de ruine ou de chagrin par leur
inconduite. Si les familles pauvres étaient exonérées de la charge
d'élever, passé l'âge de sept ans, une partie de leurs enfants
mâles, il est certain qu'elles subsisteraient bien moins
misérablement qu'aujourd'hui ; ce serait donc, surtout dans les
villes, un allégement considérable pour les classes ouvrières. On
ne manquera pas de faire remarquer que l'on utilise le travail des
enfants, et que, dans les villes manufacturières, les enfants de
huit à dix ans gagnent déjà ce qu'ils dépensent. On fera, sous
d'autres rapports, la même observation pour les enfants des
campagnes : mais, tout ce qu'il faut conclure de cette observation,
c'est que l'éducation par l’État de 2 à 300 000 enfants,
destinés au service militaire, n'en sera qu'un allégement plus
important pour la portion de la population pauvre, placée dans des
conditions où ces enfants restent plus ou moins entièrement à la
charge de leurs parents
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Fondation Larmeroux, Robert Coutin et L. Piron Sculpteurs, 1939, 2 ter rue Aristide Briand, Vanves
Initialement une crèche et une maison de retraite cohabitaient dans le même bâtiment, d'où le thème des sculptures,
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Cité Monthiers, 55 rue de Clichy, IXe ardt. Sculpteur Sporrer, 1878. |
La
troisième détermination, en suivant l'ordre du temps , mais la
première peut-être en rang, par l'importance, est celle qui est
relative au mariage, à l'époque favorable pour en contracter les
liens, au choix d'une épouse ; nous ne considérons encore ici, dans
cette grave détermination, que les intérêts purement matériels du
travailleur. Il attendra qu'il ait amassé des épargnes suffisantes
pour établir un ménage ; qu'il ait obtenu une situation assez
assurée et assez avantageuse pour entretenir une famille ; il
choisira une compagne bien portante, économe, laborieuse, qui lui
apporte quelques ressources, d'utiles appuis, dont la profession
puisse se concilier avec la sienne. Ces trois déterminations
composent les conditions principales et fondamentales desquelles
dépend presque toujours la destinée entière de l'homme qui vit du
travail de ses mains. Elles ne sont pas moins essentielles, sans
doute, pour les filles, que pour les garçons ; mais les motifs qui y
président diffèrent relativement aux deux sexes. L'option offerte
aux filles pour le choix d'un état, est beaucoup plus restreinte.
Leur séjour est naturellement fixé au sein de leur famille ; elles y
trouvent de précieux avantages, celui de la sécurité surtout. Si
elles se placent au-dehors, ce n'est plus tant le choix de la contrée
qui importe pour elle, que le choix de la famille où elles se
placent, et près de laquelle elles doivent trouver une protection,
en même temps que des moyens d'existence: choix délicat et d'autant
plus difficile pour elles, qu'elles se trouvent plus éloignées de
leurs parents ! Enfin, l'hymen exerce sur la destinée des femmes, une
influence beaucoup plus étendue que sur celle des hommes. Elles ont
besoin, en le contractant, d'une prudence plus grande encore, et
cependant elles ont, par elles-mêmes, moins de moyens pour se
guider. Quelle sera leur situation, si elles ne trouvent pas dans
leurs parents eux-mêmes, les guides dont elles ont tant besoin ?
.../...
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Foyer aviaire (voir Familles parisiennes 3), 55 quai d'Orsay, VIIe ardt | . |
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L'expérience
témoigne que les mœurs populaires ne sont jamais meilleures que
dans les pays et dans les temps où l'esprit de famille exerce le
plus d'empire ; et la philosophie explique ce fait, en le confirmant,
par les sentiments qui unissent la famille. Dans ces sentiments se
déploient tous les genres d'affections pures et généreuses ; les
vertus domestiques renferment le germe des autres vertus ; le bonheur
domestique rend facile l'accomplissement des devoirs. C'est au sein
de la famille que les femmes portent et versent ces trésors de
bonté, de tendresse, de générosité dont la Providence s'est plu à
les douer. Le chef d'une famille, embrassant dans sa pensée des
intérêts plus graves, plus durables, que l'homme isolé, est mieux
disposé à réfléchir et à prévoir; il sent le besoin de se
respecter lui-même ; il a plus de sérieux, de gravité ; retenu ou
rappelé chez lui par les soins qui réclament sa présence, il a
moins d'occasions de se livrer au dehors à la dissipation et de
former des liaisons fâcheuses ; chargé de protéger des êtres
faibles, il puise dans cette mission, la fierté, le courage ; il s'y
exerce à l'oubli de lui-même ; il connaît l'exquise jouissance de
vivre pour autrui, la délicate volupté du don fait et accepté ; il
la goûte à chaque instant. La mère de famille se sent investie
d'une dignité presque religieuse ; elle s'exerce constamment à
l'ordre, à l'activité, à l'oubli d'elle-même ; elle continue sa
propre éducation, en commençant celle de ses enfants ; tous les
actes de dévouement lui deviennent familiers.
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Foyer aviaire (voir Familles parisiennes 3),35 rue Monge, Ve ardt. Architecte : Romeuf, 1870. |
Les époux contractent
entre eux, de toutes les amitiés, la plus sainte, de toutes les
communautés, la plus parfaite, la plus étroite, la plus durable ;
les enfants, en présence des auteurs de leurs jours, apprennent le
respect, la confiance, la gratitude. Les frères et les sœurs, dans
leur réunion assidue, s'exercent à l'assistance mutuelle,
conçoivent les premières notions de la justice, en les associant
aux sentiments de la bienveillance.
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Jeune fille aux framboises, 1910. Immeuble 186 rue de Grenelle, 23 rue Cler, VIIe ardt |
Les femmes qui ont reçu de la
Providence un si beau et si touchant ministère, pour répandre et
développer la moralité sur la terre, ne peuvent guère l'accomplir,
dans la sphère inférieure de la société humaine, qu'aux titres
d'épouses, de mères, de sœurs, de filles, en un mot qu'à un titre
conféré par les liens de famille. Seul, il les place dans une
situation assez favorable à l'intimité, assez honorable, pour
qu'elles puissent devenir ce qu'elles doivent être, de vraies
institutrices, dont les enseignements sont d'autant plus efficaces
qu'ils sont plus insensibles. Leurs enseignements sont plus
nécessaires peut-être aux hommes laborieux et peu fortunés, qu'à
tous autres : la présence des femmes tempère pour eux ce qu'il y a
de trop rude dans les habitudes d'un travail matériel ; elle adoucit
l'amertume des privations ; elle calme les souffrances, elle dispose à
la modération, elle fait goûter, dans l'intérieur de la vie
domestique, d'intarissables jouissances. En donnant des
consolations, elle inspire la patience ; en donnant du bonheur, elle
prête des forces ; elle ranime les sources de la vie ; elle embellit
la destinée ; elle compense avec usure les faveurs de la fortune.
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Femme aux iris, 1910. Immeuble 186 rue de Grenelle, 23 rue Cler, VIIe ardt
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Les
femmes sont appelées à devenir l'un des principaux instruments de
l'amélioration des mœurs populaires ; elles y parviendront à mesure
qu'elles prendront un plus grand ascendant au milieu des classes
inférieures, à mesure que, par leur propre éducation, elles se
rendront plus dignes de cette belle mission. Jetez au contraire la
femme hors du sanctuaire de la famille ; non seulement vous la
dépouillez de ce touchant ministère ; mais vous l'exposez à
corrompre les mœurs que sa présence devait épurer. Séduite,
entraînée à former des rapports illégitimes, non-seulement elle
abdique, en se dégradant, sa puissance morale, mais elle devient le
plus dangereux instrument de dépravation. Lorsque l'histoire des
délits et des crimes se déroule devant les tribunaux, qui ne serait
frappé de voir les désordres de mœurs se produire le plus souvent
à l'origine des attentats contre les personnes ou les propriétés
qui semblent, par leur nature, devoir lui être étrangers ? La femme
vicieuse se porte à de plus grands excès, connaît moins de freins
; ses vices sont plus contagieux.
Concernant cet auteur.
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| Enfants joufflus, 1910. 23 rue Cler, VIIe ardt
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Enfant aux berces, 1910. 23 rue Cler, VIIe ardt
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8 avenue Alphand, XVIe ardt. Emile Derré sculpteur, 1904. |
LA
FEMME. C'est un fait historiquement bien fondé que le respect et la
considération pour la femme ont grandi en même temps que s'élevait
le niveau de l'instruction générale et des bonnes mœurs. De même
nous voyons la position actuelle de la femme d'autant plus
considérable chez une nation, que cette nation s'élève davantage à
l'étiage de la civilisation, tandis que chez les peuples sauvages,
la femme remplit encore la fonction infime d'esclave et de bête de
somme. C'était le rôle qui lui était généralement assigné au
début de la civilisation, et aujourd'hui encore, chez les peuples à
demi civilisés, ceux de l'Orient, par exemple, la position de la
femme n'est qu'un peu améliorée ; elle est esclave à demi. A eux
seuls, ces faits suffiraient pour nous indiquer par quelle voie
s'améliorera la position de la femme dans l'avenir, et comment doit
se comporter, vis-à-vis de la femme, tout homme appartenant à une
nation civilisée ou ayant cette prétention. « Nous autres hommes,
dit Radenhausen (Isis, volume III, p. 100), nous devons nous habituer
à considérer et à traiter la moitié féminine de l'humanité, non
pas comme un objet d'utilité et de plaisir, mais comme l'égale de
l'autre moitié. » Il n'y a pas non plus la moindre raison pour que
le principe de l'égalité des droits, aujourd'hui si généralement
reconnu, ne soit pas aussi appliqué à la moitié féminine du genre
humain. En effet, les devoirs et les travaux qui incombent à la
femme dans l'organisme social, ne le cèdent à ceux de l'homme ni en
importance ni en difficulté, et cette tâche pourrait s'agrandir
encore considérablement, si on lui accordait un champ plus vaste et
plus libre.
L’Homme selon la science, son passé, son présent,son avenir, par le docteur Louis Büchner, 1869
Les femmes sculptrices ne sont pas si nombreuses au XIXe siècle et au tournant du XXe. Camille Claudel est la plus connue grâce au livre et la pièce d'Anne Delbée. En voici une autre, plus oubliée, qui s'est " accordé un champ plus vaste et plus libre " que le rôle social réservé à cette époque aux femmes, traitant ici un évènement familial, l'enfant malade.
André Fantelin
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L'enfant malade, marbre, Berthe Girardet sculptrice, 1861-1948, Conservation des œuvres religieuses. |
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L'enfant malade, marbre, Berthe Girardet sculptrice, 1861-1948, Conservation des œuvres religieuses. |
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Pour clore ce billet et continuer à traiter de la sculpture, voici un petit portrait d' Émile Derré par Emmanuel Bourcier, dans les années 20, dont les œuvres sont présentes dans " Familles parisiennes 1 ", " Familles parisiennes 2 ", et dans le présent "Familles parisiennes 4 " :
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Fontaine en pierre et bronze, Émile Derré sculpteur, 1906, Square Louise Michel, XVIIIe ardt.
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Merci de cet excellent article. Sauriez vous me dire de quelle revue provient la caricature d'Emile Derré? Merci d'avance.
RépondreSupprimerSi je me souviens bien c'est un livre d'Emmanuel Bouvier qui s'appelle " Reportages ", je viens de chercher sur Gallica mais je ne l'ai pas trouvé.
RépondreSupprimerMerci de votre œil attentif. C'est une suite de personnages célèbres de l'époque, avec pour chacn sa caricature et un petit texte, comme celui que j'ai reproduit pour Emile Derré.
Merci de votre réponse, je vais faire des recherches mais pour l'instant je ne trouve aucune occurrence sur Emmanuel Bouvier.
RépondreSupprimerJe n'ai plus accès à ce document, je ne peux pas vérifier. J'espère ne pas m'être trompé en notant le nom de l'auteur, je veux dire, en ne notant que l'auteur du dessin, et oubliant l'auteur du texte. Mais dans mon souvenir c'est le même... Merci de votre intérêt.
SupprimerJ'ai tout retrouvé ! Je m'étais trompé dans le nom de l'auteur : Il s'agit d'Emmanuel BOURCIER; Je vous mets la couverture un peu plus haut. Merci de votre perspicacité.
SupprimerGood reading this post
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